Monts des Ksour

INTRODUCTION

Nous avons choisi le Sahara car nous savons que c'est une région désertique et que nous n'avons pas beaucoup de renseignements sur celle-ci. En étudiant le Sahara, nous avons appris plein de renseignements. Nous avons appris qu'il y avait des personnes qui habitaient au Sahara et aussi des animaux. Nous avons aussi appris qu'il faisait plus de 51° à l'ombre en été et qu'il faisait plus de 24° en hiver. Et plein d'autres choses : si vous voulez en savoir plus, lisez ce qui suit !

PRESENTATION

Le Sahara couvre d'immenses étendues des territoires de l'Algérie, du Maroc, de l 'Égypte, du Sahara occidental, de la Mauritanie, du Niger, de la Libye, du Tchad ... Parmi les populations actuelles du Sahara, on peut noter :

- les Touaregs

- les Sahraouis

http://tr.wikipédia.org/wiki /sahara

Le Sahara est le plus grand désert du monde, il s'étend de l'Atlantique à la Mer Rouge de part et d'autre du tropique du Cancer. Cette vaste dépression est parsemée de reliefs ( Ari , Hoggar , Tibesti ). Certaines parties du Sahara , comme le Tanezrouft et le désert de Libye, sont extrêmement arides à l'est. Ce désert est traversé par le Nil.

http://fr.encarta.msn.com

image tirée de : http://www.nomade-aventure.com

LE CLIMAT AU SAHARA

Il ne pleut presque jamais au Sahara. Il tombe moins de 100 millimètres de pluie par an et il peut s'écouler entre deux averses une durée égale ou supérieure à une année.

La température moyenne est de 20° à 24° en hiver, suivant les localités, et pendant l'été le thermomètre atteint souvent 45° et parfois 51° à l'ombre!

Partout où l'on trouve de l'eau on pourrait donc créer un oasis mais l'eau est rare, et il faut la plupart du temps aller chercher l'eau dans les nappes profondes pour les ramener à la surface du sol.

informations tirées de :http://aj.garcia.free.fr

Plus que partout ailleurs, l'eau, au Sahara, c'est la vie : sans un minimum d'eau dans le sol, pas de végétation, pas d'oasis, pas de jardin : sans abreuvoir, pas de troupeaux et l'itinéraire de la caravane se règle obligatoirement au rythme des points d'eau. En été, on peut voir un homme boire jusqu'à une dizaine de litres par jour; s'il s'aventure en hiver au grand large, on pourra voir sa consommation s'abaisser à moins d'un litre par vingt-quatre heures.

information tirée du livre DESERTS de Théodore Monod et Jean-Marc Durou

VIE ANIMALE ET VEGETALE

Il va de soi que l'aridité saharienne va singulièrement diminuer la couverture végétale et, par le truchement de celle-ci, la densité de la vie animale. Mais cela ne veut pas du tout dire que la vie soit absente : le désert n'est pas azoïque (qui ne contient pas de fossiles), il est seulement monotone. Le Sahara a été habité par de grands animaux pendant les périodes pluviales ( éléphants, girafes, rhinocéros, etc...), on ne trouve plus aujourd'hui, comme mammifères, que divers gazelles, antilopes, différents carnassiers ( chacals, renards , guépards, etc...). Les oiseaux sont tantôt migrateurs (cigognes, etc...), tantôt sahariens vrais ( moineaux du désert, corbeaux bruns, autruche etc...). Parmi les reptiles, des lézards et des serpents : couleuvres ou vipères. Là où il y a de l'eau permanente , on trouvera des grenouilles, crapaud et poissons.

information tirée du livre DESERTS de Théodore Monod et Jean-Marc Durou

image tirée de : http://perso.club-internet.fr

LA POPULATION AU SAHARA

Il est extrêmement difficile de chiffrer la population d'un territoire dont les limites ne sont pas définies et dont le recensement est établi sur des bases différentes par une douzaine d'Etats ou d'organismes internationaux à des dates diverses. Et il n'est pas davantage possible d'évaluer avec précision le nombre des nomades qui franchissent les frontières sans même le savoir et dont les caprices du climat font varier l'effectif d'une année à l'autre. L'espace saharien se trouve aujourd'hui, au terme d'une longue et complexe histoire, divisé en trois grands domaines ethniques ( 3 peuples différents ) : Arabes, Touaregs, Toubous ...

information tirée du livre DESERTS de Théodore Monod et Jean-Marc Durou